nouvelle aire

Je viens de rebatiser ce blog, la vie de Jean-pierre BIDULE.
Ce Jean-Pierre, il est aléatoire comme son orthographe.
Mais Jean-pierre il aime la vie.
Alors il fait comme vous Jean-Pierre en essayant d'immortaliser des photos de ses yeux.

à bientôt, dans mes photos.

Jean-Pierre BIDULE

Mon âme passe.

Qui je suis?

JPB

Oui je le revendique haut et fort, j'aime la nature!
Comme quoi finalement je ne suis pas rancunié.
Comme bruit, elle nous offre juste ceux de la vie.
Ce ruissellement de l'eau, le vent dans les arbres.
Elle est cruelle ma nature!
elle a eu besoin de me corriger, pour toutes les erreurs que je lui ai infligées.
Elle est douloureuse ma câle.
Elle me le dit souvent quelle est plus forte, la nature.
Je m'incline et t'admire.


Bonne soirée à tous, et pas de papier dans les rivières.

Jean-Pierre BIDULE

fantomatique

A très bientôt dans un future, heureux.

Jean-Pierre BIDULE

Les lumières de la jeunesse.

Bonsoir,

Lorsque j'écris sur ce clavier, je suis un peu frustré.
Je n'ai pas le doute de mes mots.
Sur mon clavier, mes mots s'effacent d'une moindre pression.
La ville nouvelle, elle est comme mon robot.
La ville de nos rêves, à ce goût d'amertume.
La jeune, est triste de ne pas encore avoir assez de vécu.
La ville, elle est monochrome et graphique.
La jeune, n'est juste qu'au début de son imagination.
Elle est à la genèse de son formatage la ville!
Elle ne connaît pas encore de gloires et de défaites la jeune!
Elle ne parle pas le langage binaire de la guerre notre petite ville.
Il lui faut découvrir son âme, à cette jeune ville.
La jeune n'a pour elle que l'arrogance de sa défaite.
La ville elle, connaît l'insouciance de la nullité!
Elle est comme ça la jeune, comme un site internet.
Prête à balayer les phrasés pour les remplacer par des lol de gare.
La ville, elle parle en mdr, merde!
Elle nous théorise cette ville.
Elle est futée la jeune!
Elle a juste oublié qu'elle devait grandir la ville.

Jean-Pierre BIDULE

Un pont sur un pont.

Un quai, des voitures, la nuit

La nuit les lampadaires prennent le relais du soleil.

Tous devient jaune.

Les gens commencent à se méfier des autres.

La nuit n'est elle pas plus inquiétante que le jour.

Et bien moi j'adore me promener le soir à Paris.

J'aime à m'imaginer les gens à table.

Penser à cet enfant, devant annoncer qu'il est collé.

Comment je réagirai?

J'aime à me l'imaginer.

Mes pieds ont un peu froid. je ne sais plus où aller.

Je dois attendre, attendre de la voir.

C'est comme ça que j'ai connu paris.

Je virais, virevoltais, dansais, au rythme des rues inconnues

Aujourd'hui, je me sens libre les soirs d'hiver à Paris.

On peut enfin, prendre le temps.

Prendre le temps d'ouvrir un objectif.

Vous offrir une part de mes images rencontrées.

A bientôt.

Jean-Pierre BIDULE

laissez vivre l'hiver

Il est 20H40, mon œil s'arrête sur un immeuble.
Une envie me prend, immortaliser les mouvements de la ville.
Je pose alors mon appareil sur le goudron humide du trottoir.
Les images de la ville, s'accommodent de cette petite chambre noire.
Elle nous rappelle, que nous vivons dans notre univers.
Offrez moi une part du votre.
On pourra ainsi mieux nous comprendre.
Je m'égare, il faut que j'y aille.

A bientôt à travers de nouvelles photos.

Jean-Pierre BIDULE